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6 juin 2007 3 06 /06 /juin /2007 08:20

Annuaire Musique: Narayana

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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 07:59

Batterie 1  Allons enfants de la BATTERIE
La Batterie a vu le jour au début du 20e siècle.
Son apparition est directement liée à la naissance du Jazz.Ecouter_2



Petite histoire de la batterie

Les principaux éléments qui la composent (Grosse Caisse, Caisse Claire, Cymbales,...) existaient déjà au sein des orchestres classiques et des fanfares militaires.
La batterie de jazz est l'héritière d'un passé ancestral où peau, bois et métal revêtent une perspective symbolique en rapport avec toutes les religions du monde. Elle porte aussi le poids des souffrances d'un peuple - le peuple noir - martyrisé pendant des générations et des générations. Alors que ses composantes sont, à sa naissance, d'origine étrangère - la grosse caisse et la caisse claire proviennent d'Europe, les cymbales de Turquie et de Chine, les toms de Chine, d'Afrique et des indiens d'Amérique - son assemblage même est un phénomène typiquement américain. Le regroupement de ses instruments en un seul a été le fait de musiciens-tambours inconnus - les premiers batteurs - qui jouaient dans les bars, les fêtes foraines, les cirques, les salles de danse et les théâtres, au cours des années 1890.

 

 


Batterie rétro 1
1900 - 1910

Aux Etats-Unis, à cette époque, les orchestres jouent avec 3 percussionnistes (un pour la Caisse Claire, l'autre à la Grosse Caisse et le dernier aux différents effets tels que Cymbales, Wood-Blocks,...) ou seulement 2 dans les fanfares.
L'invention du Pied de Caisse Claire et surtout de la Pédale de Grosse Caisse (commercialisée en 1910 par Ludwig, succès immédiat) permet d'assembler les différents éléments.
L'avènement du Rag Time et le besoin de musiques de danses dans les cafés, sur les "riverboats" et ailleurs, contribuent au succès de cet assemblage. Un seul batteur peut faire le boulot de 3.Pédale GC
A  cette époque, le rôle du batteur est de fournir un soutien rythmique pour "fanfares jazzifiées".

Le style musical est très voisin de celui des marches militaires, le batteur utilisant les rudiments du tambour classique mais avec un phrasé différent, directement inspiré des orchestres de parades (léger swing, roulements "écrasés" moins rigides, syncopes et accents ailleurs que sur le 1er temps).

Caisse claireLes années 20 et après
Durant cette période, les constructeurs de matériel se développent et proposent des améliorations technologiques dont les premiers Toms accordables (qui n'ont aucun succès au début), une table d'accessoires qui se fixe sur la Grosse Caisse, les premiers Balais (au départ pour jouer moins fort dans les endroits fermés) et surtout l'ancêtre de la Pédale Charleston actuelle (qu'on appelle "Low Boy" ou "Sock Cymbal").Charley
En ce temps là, la musique de Jazz est faite pour danser. Le batteur est cantonné dans la rôle de gardien du tempo et marque tous les temps à la Grosse Caisse (qui souvent remplaçe la basse). A noter qu'on n'utilise toujours pas de Cymbales "Ride" pour jouer le rythme.
A la fin des anneés 20, le seul moyen pour un batteur d'attirer l'attention est de profiter soit de l'introduction d'un morceau, soit du point d'orgue final pour placer un roulement époustouflant. Heureusement, ces années voient l'émergence des premiers batteurs virtuoses comme Baby Dodds (il est le premier à jouer des solos de batterie, photo ci-contre)Baby Dodds

Des années 30 aux années 50
Les années 30 voient une augmentation de la "demande de musique" (de danse principalement). Les clubs se multiplient entrainant la prolifération d'orchestres dont beaucoup de "big bands". Face aux besoins des batteurs, les fabricants améliorent la qualité du matériel en affinant certaines inventions des années 20.
La Pédale Charleston devient véritablement opérationnelle, ce qui change la sonorité de l'instrument et surtout la manière d'accompagner la musique. De même, l'apparition des Pieds de Cymbales (dont certains montés sur la Grosse Caisse) annonçent l'avènement de la Cymbale Ride. Petit à petit, parallèlement au succès des big bands "Swing" et à l'apparition du "Be Bop", le rythme d'accompagnement se déplace de la Grosse Caisse vers les Cymbales, permettant ainsi au batteur d'exprimer sa créativité sur les autres éléments de son instrument.
Les Toms avec peaux accordables s'imposent définitivement et les Toms Basses sur pieds (inventés par le constructeur Slingerland) font une apparition remarquée. Certains sont munis d'une pédale pour modifier la tension de la peau.

  Gene KrupaLe succès de certains morceaux comme "Sing Sing Sing" (orchestre de Benny Goodman - 1937) avec Gene Krupa (photo) aux baguettes contribuent à faire évoluer l'image du batteur qui devient un des membres solistes de l'orchestre à part entière. Par la même occasion, le set de Gene Krupa devient une sorte de
standard. Les fabricants commencent à proposer des batteries complètes qui ressemblent vraiment à ce qu'on trouve aujourd'hui (instaurant des normes pour le diamètre des fûts encore en vigueur de nos jours).

Plusieurs batteurs marquent cette période. Sydney Catlet est l'un des premiers à amorcer un début de transition vers la batterie moderne en alliant swing, technique et solos spectaculaires (c'était un jongleur hors pair!). Vient ensuite "Papa" Jo Jones qui "démilitarise" la batterie au profit d'un jeu plus mélodique avec interaction avec le soliste.
On dit même qu'il est le premier à jouer le "chabada" au Charleston et à utiliser la Cymbale Ride...
Difficile d'évoquer la période Be Bop sans mentionner Kenny Clarke. En supprimant les 4 temps joués à la Grosse Caisse et en introduisant la syncope, son style contribue à faire évoluer le Jazz, de la musique de
danse à la musique de concert. Il est également un grand virtuose des Balais.

L'invention majeure de cette période est l'invention des Peaux de batterie synthétiques (commercialisées pour la première fois en 57 par Remo), soulageant ainsi toute une génération de batteurs du dur labeur de l'accordage des peaux animales. Le fabricant Rogers propose en 59 le premier système d'attache de Toms vraiment articulé.attache de Toms
  Ringo StarL'apparition du Rock'n'roll associée au développement des médias (disques, TV...) et du "show business" propulsent les instrumentistes sur le devant de la scène. Le succès de groupes tels que les Beatles (avec Ringo Star) popularisent encore plus l'instrument auprès des jeunes générations. Les fabricants en profitent pour proposer toute une gamme de produits (de la batterie pour débutant aux modèles haut de gamme)
Le jeu de plus en plus puissant des batteurs "rock" contribue au progrès du matériel. Pour faire face à la demande de musiques enregistrées, une nouvelle catégorie de batteurs prolifèrent : Le batteur de studio. Les années 60 voient l'apparition des premières stars de la batterie rock dont Keith Moon (des Who) et surtout John Bonham de (Led Zeppelin).

Des années 70 à nos jours
L'invention majeure de cette période est l'apparition des premiers Toms Synthétiseurs, préfigurant l'émergence des batteries électroniques, boites à rythmes, sons numérisés et autres rythmes "samplés" dans le monde de la batterie actuelle.
De nombreux musiciens marquent le début de cette période, le style "Jazz Rock Fusion" révélant une nouvelle race de batteurs virtuoses annonçant les Vinnie Colaiuta, Dave Weckl et Dennis Chambers d'aujourd'hui. A noter Jack Dejohnette (musicien à part, improvisateur au jeu indépendant et sans contrainte), Billy Cobham (technicien hors pair au jeu imposant), Steve Gadd (dont le phrasé et le son unique mélangent les styles de la batterie jazz, studio et rythm'n'blues)


Batterie 2ZOOM
Les éléments suivants font la plupart du temps partie d'une batterie, en nombre divers.

    * la grosse caisse (Bass drum) (1)
    * le tom basse, ou Goliath (Floor tom) (2)
    * la caisse claire (Snare Drum) (3)
    * le tom aigu (High tom) (4)
    * le tom médium (Middle tom) (5)
    * le pied de charleston (Hi-Hat) (6)
    * la cymbale ride (7)
    * la cymbale crash (8)
    * la cymbale splash (9)
    * cloche et Wood Block (10)


Les accessoires:
Pédale de grosse caisse simple ou double ou triple pédale, pédale charleston, pied de caisse claire et pieds de cymbale. Cependant, on peut également rajouter des éléments complémentaires à une batterie classique:
    * la cymbale crash : cymbale de diamètre variable (le plus souvent de 15" à 19") à la sonorité aigue et explosive. La chute (durée de la note) de la cymbale varie selon sa taille et son martelage.
    * la cymbale Chinoise (ou china) : ses bords (parfois recourbés) lui confèrent une sonorité grave, déchirante et possédant très peu d'harmoniques car la chute après la pêche -perche- est immédiate. Son diamètre s'étend de 16" à 22", parfois jusqu'à 24".
    * la cymbale ride peut être percée afin d'y fixer des rivets. Cela a pour effet une vibration accrue qui remplit l'espace quand le batteur accompagne un blues lent ou une ballade en jazz par exemple. Son diamètre varie entre 18" et 22"
    * d'autres toms (avec différents diamètres : de 6" à 20") ou caisses claires, avec ou sans timbre.
    * une seconde grosse caisse, éventuellement remplacée par une double pédale de grosse caisse afin
      d'effectuer des roulements avec les deux pieds (ou tout autre figure syncopée). Cette technique est très utilisée dans les styles metal et hard-rock.
    * diverses petites percussions : cloches, chimes, Wood Block, tambourin (parfois fixé sur la tige du Charleston)...  et parfois un gong.

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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 07:45

Chanson_franaise_nb

Chanson française


«Les premières notes sont à peine jouées... Pourtant le spectacle a commencé bien avant, ou plutôt juste avant... Au moment furtif où l'on se glisse derrière la scène, où l'on entend les cris, les applaudissements dans le noir avant d'entrer en pleine lumière. La lampe torche du régisseur nous sert de phare, de repère ; on calque nos pas dans les siens, en file indienne comme des sioux sur le sentier de la guerre, en embuscade, prêts à l'assaut. Peu de mots. Le strict nécessaire. Le chef de plateau prévient les consoles, les poursuites. Tout le monde est sur le qui-vive. On s'arrête à l'abri du rideau, la dernière porte. L'air souvent sent le bois un peu humide et chaud, une odeur qui claque, en tension. Encore quelques vocalises... Dans quelques instants, le barrage entre les coulisses et la salle, entre l'ombre et la lumière, va céder.»
Jonasz_3

Michel Jonasz a réussi là où beaucoup ont échoué, en se créant un univers. Marqué par le jazz des big bands et par le rythm’n blues, il séduit un large public, aussi bien par l’énergie inhérente à sa musique que par la poésie nostalgique de ses paroles. De ce point de vue, il peut être rapproché de son exact contemporain,  Alain Souchon, personnalité aussi discrète et reconnue que lui.

Né à Drancy, de parents d'origine Hongroise, le jeune homme a, très tôt, un profil beaucoup plus artistique que scolaire. Il se passionne pour la peinture, le théâtre et la musique, bien sûr !
Sa première idole se nomme Ray Charles et c’est en toute logique qu’il apprend le piano. Lâché, dans le circuit des clubs, il se fait embaucher comme accompagnateur de Vigon, un chanteur de rythm’n blues marocain puis, en 1967, forme son premier groupe, le Michel King Set.
Jonasz_5_3 Suivant la mode britannique, il s’essaie alors au rock vaguement psychédélique, comme en témoigne le petit succès « Apesanteur ».

L’aventure ne dure pas très longtemps et dès 1969, il tente de se lancer en solo. Mais ses premiers 45 tours restent assez confidentiels…
C’est sa rencontre avec le compositeur, parolier et arrangeur Jean-Claude Vannier qui lance sa carrière. Ce dernier avait déjà pu prouver son talent avec l’inoubliable « Melody Nelson » de Serge Gainsbourg. C’est sous sa houlette que sort le premier 33 tours de Jonasz, un travail d’équipe qui voit collaborer Vannier, Jonasz et Frank Thomas, pour les paroles et la musique. « Super Nana » et « Dites-Moi » sont chéris des programmateurs radios, tout comme le 45 tours « Je voulais te dire que je
t’attends » un véritable standard qui sera repris par Manhattan Transfer et Diane Dufresne, ou « Les vacances au bord de la mer », sur l’album « Changez tout » (1975).
Jonasz_2_2 Mais c’est véritablement avec son nouveau 33 tours éponyme de 1977 que le succès commercial vient enfin. Fâché avec Vannier, il se lance dans l’écriture des textes, et réussit son pari avec des classiques comme « J’veux pas qu’tu t’en ailles ». De plus en plus nettement, la nostalgie et la tristesse propres à son univers musical, sont mises en valeurs par des ambiances noires américains : soul, jazzy, ou blues, comme en témoigne le titre éloquent : « Du Blues, du Blues, du Blues » ! Le public applaudit.
Fort de sa reconnaissance, il collabore avec  Françoise Hardy (« J’écoute de la Musique Saoule », 78),
obtient le prix de la SACEM, celui de l'Académie Charles Cros et multiplie les réussites commerciales :
« En v’là du slow, en v’là », « Guigui », « Les Wagonnets »… Il fait également ses premiers pas au
théâtre et au cinéma, pour Jean-Michel Ribes (« Rien ne va plus »), Didier Kaminka (« Toutes les
mêmes sauf Maman ») ou Elie Chouraqui (« Qu’est-ce qui fait courir David ? »).
Jonasz_4 A partir de 1981, son style évolue sensiblement, grâce à l’apport de nouveaux arrangeurs. Désormais, Jonasz swingue, tous cuivres dehors.Et la mélancolie de ses fameuses ballades obtient de sérieux contre-points avec des tubes comme « Joueurs de Blues » (1981) ou « La Boîte de Jazz » (1985)…
Il n’oublie pourtant pas d’écrire « Lucille » pour Eddy Mitchell, en 1982, et sa propre version demeure l’un de ses standards radios les plus tristes.
La deuxième moitié des années 80 est marquée par sa prestation dans « Le Testament du Poète Juif Assassiné », de Frank Cassenti, d’après Elie Wiesel. Musicalement, Jonasz s’investit principalement dans « La fabuleuse histoire de Mister Swing », grand spectacle qu’il donne en 1987 et 1988, où il défend avec obstination le background musical qu’il affectionne. Il chante pour Amnesty International en 1987, ce qui lui permet, une soirée durant d’avoir des collègues nommés, Sting ou Peter Gabriel !
Les années 1990 et 2000 ne voient pas d’évolution notable dans son style. Sûr de sa formule, le chanteur a publié cinq albums depuis 1992.
2002
Sortie de l'album "Où vont les rêves" enregistré en studio en 7 jours avec trois musiciens. C'est le 3e
album enregistré avec le bassiste Etienne Mbappé, mais surtout Michel retrouve là Steve Gadd, dix ans après "Où est la source".
Une tournée d'un an et demi le conduira jusqu'à Tahiti, Nouméa, La Réunion, l'île Maurice, en France et
dans toute l'Europe. Création des Éditions Michel Jonasz. Rajoutant une corde à son arc, Michel devient
éditeur de livres consacrés au développement personnel et à la spiritualité.
2004
Tournages pour le cinéma "La maison de Nina" de Richard Dembo, pour la télévision "Un amour à taire" de Christian Faure primé au Festival de Luchon, "Dalida" de Joyce Buñuel, "Le triporteur de Belleville" de Stéphane Kurc, et "Un coin d'azur" d'Heiki Arekallio.
2005
Sortie de son 14e album studio sous son propre label MJM. Tournée : plus de 100 concerts en France et à
l'étranger. 15 jours au Casino de Paris et un Olympia.
Février 2007
Sortie de l'album "Chanson Française". Michel interprète Léo Ferré, Jacques Brel, Georges Brassens, Yves Montand, Édith Piaf ...
Jonasz_zazie

Depuis 1990, il est engagé dans l'association SolEnSi (solidarite, enfants, sida) avec
Francis Cabrel, Catherine Lara, Maxime Le Forestier, Maurane, Alain Souchon et Zazie.

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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 07:18

La_princesse_1 La_princesse_2

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16 mai 2007 3 16 /05 /mai /2007 08:14

Association pour le Rayonnement de la Musique Ancienne en Basse-Normandie

ARMABN,  prononcez « armabéaine »
Association pour le Rayonnement de la Musique Ancienne en Basse-Normandie
Association créée le 05 janvier 1996.
SIRET 415 115 849 00010 – APE 923A
Siège social : 2, Passage Chanoine Cousin, 14000 Caen

Objet : faire rayonner les musiques anciennes en région en en développant la pratique par des actions pédagogiques (stages) et en organisant des manifestations culturelles (concerts, conférences…).

Effectif 2005 : 102 adhérents
Bureau :
Président : Luc Moreau
Trésorier : Samuel Weddle
Commission secrétariat : Corinne Toutin et Martine Ségrétier
Commission comptabilité : Armelle Violette et Monique Moreau
Directeur : Jean-Marie Ségrétier

Adresse email : armabn14@yahoo.fr


Visitez également ce site ami : LAMIDO
Ne manquez pas les superbes photos de l'Académie 2005

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 07:54

LA FORMATION MUSICALE

par JPL

 

J'ai coutume de dire à mes élèves que la Formation Musicale c'est l'acquisition d'une culture musicale générale.
Le langage musical est universel et accessible à tous, par contre nous n'avons pas la science infuse.
C'est notre culture, constituée de connaissances et d'expérience, qui nous permet de décrypter ce langage et d'en percevoir toutes les subtilités afin de forger notre propre jugement.
Sans ce jugement nous sommes condamnés à suivre les modes et les tendances préfabriquées par les marchands du "prêt-à-entendre" .

Nous ne sommes pas tous des génies et ce que notre intuition ne perçoit pas nous devons l'apprendre ...


EMI 009Durant ses cours de Formation Musicale, l'élève est amené à aborder un très grand nombre de sujets relatifs au domaine musical:
Solfège, Théorie musicale, écoute, analyse, chant, histoire de la musique, instruments de musique ...

 

 

SOLFÈGE et THÉORIE MUSICALE

Le Solfège demeure le talon d'Achille de l'enseignement musical. Indissociable de la pratique instrumentale, il est enseigné en cours de F.M. Certains pensent que son apprentissage doit être plus adapté à l'instrument pratiqué, d'autres mettent en avant le fait qu'un violoniste (en clé de sol) peut décider un jour de passer à l'alto (en clé d'ut), voir au violoncelle (en clé de fa) ...

Il n'en demeure pas moins que les véritables progrès en lecture relèvent d'un travail personnel de l'élève, au même titre qu'un enfant qui n'ouvre jamais un livre ne lira jamais correctement.

La Théorie Musicale expose les principes généraux de la construction musicale. Elle permet également à l'élève d'acquérir le vocabulaire indispensable à la communication entre musiciens. Si vous ouvrez un dictionnaire de musique, vous aurez un aperçu de l'étendu de notre champ lexical !

 

ECOUTE et ANALYSE

"Apprenez à écouter, car en écoutant vous apprendrez".
Ce précepte pourrait figurer au fronton de toutes les écoles de musique. L'écoute est à la base de notre art, elle est la source dans laquelle nous puisons notre créativité. On sait que l'oreille est définitivement formée à l'âge de 10 ans, c'est pourquoi l'enfance est une période privilégiée pour l'écoute et la découverte du monde sonore. L'analyse des oeuvres permet d'en apprécier toutes les subtilités. En développant ainsi notre sensibilité de perception, nous  enrichissons notre capacité à restituer des émotions dans l'interprétation et la création.

 

CHANT

La voix est notre premier instrument de musique. Elle est le "conducteur" de notre interprétation instrumentale. Mon professeur de piano me disait: " Tout ce que tu joues, tu dois être capable de te le chanter. Ce que tu ne peux pas te chanter n'a aucune cohésion, car tu ne te l'es pas approprié."

Pour un très jeune enfant qui reçoit  ses premiers cours de musique, tout doit passer par la voix. En effet, un grand nombre de problèmes liés au texte musical (le rythme, le phrasé, la hauteur...) peuvent être résolus par l'utilisation de paroles chantées. Notons également que souvent, le chant constitue pour beaucoup d'élèves, la seule expérience de pratique musicale collective.

 

HISTOIRE DE LA MUSIQUE, DÉCOUVERTE DES INSTRUMENTS...

On nous fait croire, qu'en se trémoussant pendant 2 minutes 57'' devant un micro en chantant plus ou moins juste un texte écrit par un "auteur" mono-neuronique, on a du talent. Peut-être alors est-il essentiel de seVreplonger dans notre histoire et de s'aperçevoir que le véritable talent a toujours survécu aux phénomènes de modes, quelque fût le genre ou le style musical de l'époque. Enfin, la connaissance des instruments, leur histoire, leur technologie, s'inscrit naturellement dans la formation générale d'un musicien. 

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1 mai 2007 2 01 /05 /mai /2007 07:19

Musique Assistée par Ordinateur

Plutôt que de re-publier le dossier "Informatique musicale" paru dans le numéro 5 (mars 2003) de la note bleue, j'ai préféré vous envoyer sur le site AUDIO FANZINE qui présente un excellent dossier nommé:   Les bases de la MAO & du Home Studio

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 07:41

APEJS

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30 avril 2007 1 30 /04 /avril /2007 07:07

 

Pierre Perret 1

Pierre Perret 2


Pierre Perret 3





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28 avril 2007 6 28 /04 /avril /2007 07:18

 

La note bleue titreSOMMAIRES

Voici tous les numéros de la note bleue depuis sa première parution en décembre 2002.

Cliquez sur les titres des articles pour les consulter. Bonne lecture ! JPL


Couverture 1

 

N°1 Décembre 2002



- Claude DEBUSSY


- Le BIG BAND

Couverture 2

 

N°2 Mars 2003

  

 

-Claude Bolling


-Eveil musical


-Le Violoncelle

Couverture 3

 

N°3 Juin 2003



- Renaud


- La FM
Couverture 4

 

N°4 Décembre 2003



- Maurice RAVEL


- L'Orgue
Couverture 5  

N°5 Mars 2004


 

-Michel Petrucciani


-La M.A.O


Couverture 6  

N°6 Juin 2004


 

-Pierre Perret


-La Harpe

Couverture 7

 
N°7 Décembre 2004


 

-Alain Souchon


-La Guitare électrique

Couverture 8  

N°8 Mars 2005


 

-Jean-Sébastien Bach


-Le Luth

Couverture 9  

N°9 Juin 2005

 


-Louis Armstrong


-Le Vibraphone

 

Couverture 10

 
N°10 Décembre 2005 

 



-Maxime Leforestier

-Une école en Savoie

 

 

 Couverture 11  

N°11 Avril 2006

 

 

-W.A.Mozart


-La Formation Musicale


-Intervenir en milieu scolaire

Couverture 12

 

N°12 Juin 2006


 

-Charlie Parker

-Le Saxophone


-Le Berimbau

 Couverture 13

N°13 Décembre 2006


 

-Antonio Vivaldi


-Le Hautbois


Couverture 14

 N°14 Mars 2007

 


-John Williams

 

-L'Orchestre Symphonique

 

-La Leçon de Chant

 Couverture 15

 

N°15 Juin 2007

 


-Michel Jonasz


-La Batterie

 

Couverture 16  

N°16 Décembre 2007

 


-Musique préhistorique

 Couverture 17

 

N°17 Mars 2008

 


-Balade irlandaise

 Couverture 18

 

N°18 Juin 2008

 


-Children's corner

 Couverture 19

   

N°19 Décembre 2008

 

-Musique au moyen-âge

 Couverture 20

 

N°20 Mars 2009

 

 

-Le Rock

 Couverture 21

 

N°21 Juin 2009

 

 

-L'accord Parfait

(comédie musicale)

Couverture 22

  

N°22 Décembre 2009

 

 

-Haendel

 Couverture 23

  

N°23 Mars 2010 

 

 

-The Beatles

Couverture 24

 

 N°24 Juin 2010


 

-Notre école

Couverture 25 (2)

  

N°25 Février 2013

 

 

L'impressionnisme

musical 

 

-Pythagore et la musique

   
               
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